Le retour du rendez-vous du lundi made in Tribune 47. Dix-septième épisode de la saison 2 de la réf, cette fois-ci, on parle de James Bond et d’Elie Okobo. Deux personnages élégants, spécialistes des grands moments et charismatiques. Alors, t’as la réf ?
Hier, c’était le All-Star Game, on avait envie de prolonger la fête en parlant d’un joueur qui y était. On va rendre hommage à l’un des joueurs les plus spectaculaires du basket français d’aujourd’hui : Elie Okobo.
Même s’il a perdu le concours des meneurs en finale de un contre un face à T.J. Shorts, on parle d’un joueur rempli de skills et de qualités qui font de lui l’un des plus beaux joueurs. D’un autre côté, nous avons l’un des personnages les plus emblématiques du cinéma. Un homme qui remplit toutes ces cases.
Transition parfaite, parlons du premier point commun.
On l’a dit, ces deux hommes sont élégants et alléchants face-caméra. Lorsque l’on regarde un James Bond, peu importe son acteur, on remarque que la classe et l’élégance se démarque du personnage.
Que ce soit dans l’attitude, la façon de parler, le combat, les mouvements… L’aura est au max ! Quand on parle de l’arrière monégasque, c’est la même chose. Il a très peu de points faibles, et même s’il n’est pas très rapide dans ses gestes, tout est fluide, tout est efficace et tout marche.
Son placement, ses dribbles, sa gestuelle de tir, sa vision pour créer des espaces… Tout est esthétiquement beau à voir.
On conseille aux plus jeunes de le regarder attentivement.
Ces traits nous font enchaîner sur le deuxième point commun qui concerne le charisme. Tous les deux l’incarnent et en ont.
Quand on regarde les scènes des James Bond ou même des bandes-annonces, c’est la première chose que l’on voit. C’est frappant, ça saute aux yeux.
Quand on parle du triple champion de France, on le sait quand il est sur le terrain et quand il ne l’est pas. Sa présence et son absence se font remarquer.
Bon, à Monaco, il y en a des joueurs comme lui mais la patte Elie Okobo est l’une des plus importantes comme l’en témoigne sa performance lors des dernières finales face au Paris BasketBall.
On passe au dernier point commun, ces deux hommes aiment les grands défis. James Bond en est un spécialiste, cet agent secret fait une activité à risque. Forcément, cela fait partie de son boulot de gérer les moments chauds.
On pourrait dire la même chose pour les basketteurs, mais ce n’est pas tout le monde qui arrive à prendre ses responsabilités dans les moments forts.
En ce qui concerne Elie Okobo, il est à l’aise quand il faut le faire. Il est l’un des joueurs les plus clutchs du championnat de France. S’il faut mettre des gros tirs, porter son équipe en fin de match, tuer la rencontre, il sait le faire et n’hésite pas si besoin.
Tout cela amène à un quatrième point commun puisque cette compétence fait d’eux des hommes intelligents capables de s’adapter à tout type de situation. Ils font preuve de sang-froid, de calme et savent gérer la pression.
On aurait même envie de leur ressembler, beaucoup de points forts, peu de points faibles… Elie Okobo ne serait-il pas le James Bond du basket français ?
Crédit photo : DR / FIBA