Jouer Dijon, même chez soi, n’est jamais une partie de plaisir. L’Asvel ne pourra pas dire le contraire. Habitués au jeu made in Euroleague, les Villeurbannais, privés de David Lighty à la dernière minute, n’ont pas su se ré-adapter. C’est ce qu’a reconnu après match le coach TJ Parker.
“On n’a pas su faire le clic de l’Euroligue à la Jeep Elite, où ce n’est pas sifflé pareil, Il faut être prêt à se faire taper dessus, et ce (mardi) soir on s’est fait taper dessus, comme Dijon le fait tout le temps. Ils te font déjouer, ils ont fait du Dijon (…) On n’a pas montré assez d’impact dès le début avec des lay ups en transition trop faciles. On n’est pas rentré dans le match comme on le voulait” (Le Bien Public).
Avec ce rythme d’enfer, l’Asvel a au moins un avantage : elle n’aura pas le temps d’avoir des états d’âme puisqu’il faudra mettre le bleu de chauffe en fin de semaine face à Berlin.
Crédit photo : F.Baise