Avec seulement quatre joueuses pros disponibles, la Supercoupe féminine a logiquement tourné en défaveur de l’Asvel face au Fenerbahce (-57).
En ce moment, l’Asvel doit faire face à un calendrier dingue. Problème ? Entre les blessures (Sandrine Gruda, Endy Miyem…) et les absentes (Marine Johannes), David Gautier et son staff n’ont pu compter que sur quatre joueuses pros pour affronter le Fenerbahce en Supercoupe féminine. Logiquement, les Lyonnaises ont subi une sacré déroute, malgré beaucoup de courage. Alors qu’elles affronteront Angers ce week-end en championnat, le technicien confie que l’équipe n’a pas d’autres choix que de faire le dos rond.
“Il faut sortir de cette spirale qui est difficile parce que ça fait six semaines qu’on vit et on s’entraîne avec quatre professionnelles, parfois cinq ou six, 10 avec les jeunes. C’est un peu pesant mais, en attendant, personne ne lâche et tout le monde se bat avec le sourire au quotidien. On va tout faire pour gagner mais ça ne serait pas la fin du monde non plus s’il y avait défaite dimanche” (Basketeurope)