Le retour du rendez-vous du lundi made in Tribune 47. Quinzième épisode de la saison 2 de la réf, cette fois-ci, on parle de T.J. Shorts et Iron Man. Deux hommes intelligents, spectaculaires, doté d’une grande confiance en eux. Alors, t’as la réf ?
Deux lundis de suite où notre personnalité du basket français est un joueur du Paris BasketBall. Promis, on va se calmer d’ici les prochaines semaines.
Malheureusement pour les Parisiens, la série de 10 victoires consécutives en EuroLeague s’est arrêté face à l’Asvel, mais cela n’enlève rien à leur magnifique saison dans la plus prestigieuse des compétitions européennes.
Entrons maintenant dans le vif du sujet. Nous avons trouvé trois points communs entre nos deux protagonistes, et on va vous les dévoiler tout de suite.
Premièrement, nous avons ici deux personnages très intelligents. Iron Man, de son vrai nom, Tony Stark, est considéré comme le plus puissant des Avengers car il est le mieux informé. Un génie créatif et industriel, un prodige de l’ingénierie mécanique, il est diplômé avec mention du Massachusetts Institute of Technology à l’âge de 17 ans. Et vous, à 17 ans, vous faisiez quoi ? Iron Man n’a plus rien à prouver en matière d’intelligence.
Si on prend le cas de T.J. Shorts, c’est la même chose. Alors, peut-être qu’il est un génie de l’ingénierie mécanique, on ne sait pas, mais on parle de l’intelligence de jeu. Le meneur parisien a toujours un coup d’avance sur le terrain. Il sait toujours quoi faire, à quel moment, et voit parfois ce que l’on ne voit pas.
On se demande si Tuomas Iisalo ou Tiago Splitter lui donnent vraiment des consignes… Il a plus de dix tours dans son sac.
Venons en au point suivant : le show. Nos deux personnages aiment plaire à la galerie et sont spectaculaires. Quand on voit T.J. Shorts, on peut le dire, on en a pour notre argent. Il y a du scoring, de la passe décisive et de belles actions.
Avec sa petite taille (1m75), il affronte n’importe quel joueur en un contre un sur le terrain. Il pénètre dans la raquette sans avoir peur des intérieurs en face mesurant au minimum 25-30 centimètres de plus que lui. Le plus fou, c’est qu’il joue souvent dans les airs pour aller poser le ballon ou faire une passe à la dernière seconde. Son jeu rend le match plus fluide. Quand il est sur le parquet, il se passe quelque chose.
Cela marche aussi avec Tony Stark. Il n’a aucun défaut et tout ce qui le caractérise est impressionnant.
À lui seul, il est capable de battre une armée de soldats.
Il a réussi à combattre les gardes de Hammer Industries, à vaincre cinq soldats Skrull en combat singulier, les gardes de sécurité de Stark Industries, de nombreux gladiateurs Voldi, à se défendre contre Madame Hydra, et à affronter à mains nues plusieurs ninjas.
Sa force est surhumaine, il peut porter jusqu’à 100 tonnes lorsqu’il porte son armure. Si on parle de vitesse, c’est incomparable, il peut atteindre 5 miles par seconde, soit 8,05 km.
Un troisième pour la route ? Les deux ont une grande confiance en eux. C’est flagrant des deux côtés.
En ce qui concerne le meneur américain, son jeu parle pour lui et témoigne de cette grande confiance. Pour avoir autant de culot, il faut croire en soi, et ne pas se sentir handicapé par sa taille et son gabarit. Pas besoin de développer, si TJ Shorts en est à ce niveau, c’est très clair.
Iron Man a beaucoup d’humour, aime charier et provoquer. Si chez certains, on soupçonnerait que cela cacherait un complexe de supériorité, chez Tony Stark, on sait qu’il s’agit d’un plein d’assurance. Chez les Avengers, il s’est imposé comme un leader de l’équipe, comme T.J. Shorts à Paris. Pour assumer un tel rôle, la confiance en soi est obligatoire.
Alors, T.J. Shorts ne serait pas le Iron Man du basket français ?
Crédit photo : DR / F.Blaise / David Haynau