Fille du regretté Thierry Rupert, Iliana a hérité du talent de son père et monte en puissance au fil des mois pour confirmer son statut de grande espoir du basket français.
Interrogée par Le Berry Républicain, Iliana Rupert s’est notamment exprimé sur ses envies pour la suite de sa carrière. Comme Audrey Sauret, Céline Dumerc ou plus récemment Sandrine Gruda, la jeune internationale française rêve d’étranger et plus particulièrement d’Ekaterinbourg. Malheureusement, avec le contexte actuel ses ambitions de voir la Russie sont mises en pause.
« Ça a toujours été Ekat’ mon rêve. Bon, je le garde dans un coin de ma tête mais avec la situation actuelle en Russie, ça risque d’être compliqué dans les années à venir. Après, ce qui est bien en Europe, c’est qu’il y a des changements assez régulièrement parmi les grosses équipes. On peut aller dans tellement de pays différents. Ça ne me dérangerait pas de bouger. Outre l’aspect basket, aller dans un nouveau pays me permettrait de découvrir la culture, le langage. C’est ça aussi qui m’attire à l’étranger. »
Cette saison, Iliana Rupert compile en moyenne 12,3 points et 6 rebonds pour 15,1 d’évaluation en LFB. En Eurocup, c’est encore mieux avec 14,5 points et 6,6 rebonds pour 19,2 d’évaluation. Des stats qui font d’elle la meilleure joueuse de son équipe.
Crédit photo : Ann-Dee Lamour
